mardi 6 mars 2018

MAGIRAA 2018: fin de mission

Après 2 jours en mer à bord du Téthys et 2 jours à terre à l'observatoire océanologique de Villefranche/mer pour acquérir les bases de traitement des données sismiques acquises en mer et d'interprétation géologique des profils sismique, retour à Nice par le sentier côtier avant de prendre le train pour une retour tardif sur Lyon.


Une fois rentrés, les étudiants vont travailler sur les données acquises pendant la campagne, faire les traitements de données nécessaires à l'obtention des profils sismiques, puis ils en feront l'interprétation géologique.



Merci à toute l'équipe du Leg 1
ainsi qu'à l'équipage du Téthys et à nos collègues de l'OOV

lundi 5 mars 2018

MAGIRAA 2018: quelques photos prises en mer

 En route vers le site d'acquisition le 2eme jour.
 Le temps se dégrade progressivement, mais tout est OK pour continuer
La source sismique sparker à gauche et la flute sismique monotrace à droite, à la poupe du Téthys

dimanche 4 mars 2018

MAGIRAA 2018 Leg1 Jour 2: journée complète en mer

Nous poursuivons nos travaux en domaine côtier. Magnifique début de journée pour rejoindre le Téthys au port de Nice en passant par la promenade des Anglais
Malheureusement, les conditions se dégradent un peu une fois à bord. Mais tout le monde tient le coup, et nous pouvons travailler par quart.

Les étudiants surveillent l'acquisition (à droite) dans le laboratoire, et suivent également notre progression sur la carte GPS (à gauche). Très utile quand nous ratissons une zone, comme le montrent les tracés de nos profils sismique (en rouge) ci-dessous:
 

samedi 3 mars 2018

MAGIRAA 2018 Leg 1 - jour 1: embarquement

Première journée de la campagne en mer MAGIRAA 2018. Malgré une arrivée plus tardive que prévue à Nice (4h30 de retard du train), les étudiants ont commencé la journée par un cours sur l'acquisition sismique à l'Observatoire Océanographique de Villefranche sur mer. A 13h, embarquement à bord du Téthys. Conditions moyennes, tous le monde n'est pas forcement rassuré, mais "ça va bien se passer" dit le chef de mission.

Spécificité cette année, le canon à air GI-gun habituellement utilisé est en maintenance, donc nous utiliserons un sparker qui est un autre type de source sismique, ainsi qu'une flute sismique plus courte et monotrace (http://sciencesdelaterre.ens-lyon.fr/enseignements/l3/semestre-2/ecole-de-terrain-3-sismique-marine/ecole-de-terrain-3-sismique-marine pour plus de détails). Nous aurons accès à une information plus détaillée, cependant nous allons devoir travailler sur des profondeurs d'eau plus faibles qu'avec le GI-gun. Ce qui n'est pas plus mal compte-tenu des conditions de mer avec une houle croisée.
Travail dans la cabine avec tenu du cahier de quart et coordination de la vitesse du navire avec Clément, le second du Téthys.